((kate)) ↨ i have to learn to stop talking
2 participants
Roleplayed by : Inglorious; Nono (he/him)
Faceclaim : laurel thoma
Secrets Révélés : 17
Katherine Elizabeth Bishop
❝ Citation ❞
Auteur
Hailee Steinfeld
crédit : imaginelion
- Bornée
- Impulsive
- Colérique
- Sarcastique
- bagarreuse
- Indépendante
- Confiante
- Juste
- Déterminée
- Généreuse
Capacités & Talents
Dis nous en plus...
Derrière le personnage...
Kate-aracte.
Roleplayed by : Inglorious; Nono (he/him)
Faceclaim : laurel thoma
Secrets Révélés : 17
Histoire
❝ Une belle et pas trop longue citation, enfin, comme tu veux. ❞ Auteur
« Come in, » grommèles-tu, tes paupières encore lourdes et endormies. Quelle idée d’ouvrir cette agence, et devoir respecter des horaires acceptables pour un bureau. Neuf heures, bien trop tôt pour ne plus être sous ta tendre couette, à rêvasser des manières que tu allais pouvoir employer pour faire de la vie de Tommy un enfer, tout comme il te l’impose. Tu déposes aussitôt ta tasse de café estampillée Hawkeye’s Investigations, pour te rendre entièrement disponible pour ta cliente. Tu arbores un grand sourire amical, et te lèves par respect, sans pour autant quitter ton bureau. Tu pointes d’un revers de main la chaise qui se tient disponible. « Please, have a seat. Can i offer you a cup of coffee? » lâches-tu amicalement pour tenter de créer du lien. Tu n’obtiens en retour qu’un léger acquiescement de tête, étouffé dans un sanglot muet. Le regard de la quadragénaire est défait, il ne parvient pas à quitter le sol des yeux. Tu t’empresses de servir la tasse de café promise, cherchant comment briser ce silence pesant, comme à chaque nouvelle rencontre avec un client. « Here, it’ll warm your heart up. », souffles-tu avec douceur et dans un fin sourire de tes lippes rosées par la jeunesse, déposant la tasse fumante sur le bureau de bois de chêne. Tu attrapes une autre chaise par son dossier et l’emportes non loin de la dame, cherchant à créer une proximité rassurante. Instinctivement, par ta générosité innée, tu viens capturer ses phalanges entre tes doigts fins et abimés par les trop nombreuses flèches décochées. « Tell me everything, you can speak freely between these walls. », poursuis-tu en brisant ta nuque pour tenter d’attraper son regard, tentant de lui insuffler toute ta bienveillance. Elle essuie son nez d’un revers de main, prend une inspiration et s’élance. « It’s my… my daughter. She’s been missing for two days. With… With everything that’s going on these days, I’m afraid that she may have… may have… », elle ne parvient pas à finir sa phrase, à la simple pensée qui doit se jouer dans son esprit. Ce scénario qui doit sans nul doute tourner en boucle comme un refrain que l’on ne parviendrait pas à extirper de son crâne, jusqu’à en perdre raison. Tu ressers un peu l’étreinte de tes doigts. « It’s okay, don’t worry, you can let it go. », rassures-tu la divorcée – tu notes la trace presque disparue de feu l’alliance à son annulaire – alors que tu attrapes de ta main libre la boîte de mouchoirs, accessoire indispensable, qui se tient sur ton bureau. Tu la rapproches de vous et en extirpes trois pour les tendre à la cliente. Elle s’en empare et les apporte à ses yeux humides. « When and where exactly have you seen her for the last time? And did anyone else see her more recently? », questions de base pour ce type d’affaire, mais essentielles pour démarrer l’assemblage des pièces du puzzle. Le temps qu’elle reprenne ses esprits, tu te lèves et t’écartes pour te mettre dans un coin de la pièce. Bras croisés sur ta poitrine, tu l’envisages du regard. Pantalon noir luxueux, chanel à en juger par les coutures. De légers éléments viennent en perturbant la teinte. Tu plisses les yeux, jusqu’à identifier des poils. Tu observes Lucky endormi dans son panier, du coin de l’œil. Non, pas les siens. Un chat, persan. Chemisier écru, mousseline de soie, aucun détail particulier. Tu observes désormais sa chevelure, un chignon parfait. Une coloration, la teinte est différente des sourcils. Chevelure brune, mais châtain au naturel. Escarpins noirs, peu d’originalité et de fantaisie dans les couleurs. Femme d’affaires. Manhattan, assurément, tu les connais par cœur, merci les dîners d’affaires à domicile lors de ton enfance, ton paternel t’imposant de rester cloîtrer dans ta chambre pour ne pas interférer – fâcheuse tendance à mettre ton nez partout. Manucure parfaite, vernis rouge. Tu notes deux ongles rongés, stress très certainement. Etrange, disparue depuis deux jours, seulement deux ongles abimés… Tu fronces les sourcils. Boucles d’oreilles en or, plusieurs carats, tout comme les pierres qui s’y trouvent. Elle peut assurément se payer les meilleurs détectives de New York mais c’est à ta porte qu’elle vient sonner, agence ouverte depuis moins de deux ans, et elle vient te faire confiance à toi, du haut de tes vingt-six années. Ce n’est guère dans l’habitude de cette clientèle de daigner venir voir la jeune Kate Bishop. Le nom, réputé, qui aurait pu l’inciter ? Tu mets tes doutes de côté lorsqu’elle daigne enfin rompre le silence. « Madison avenue. She left home to join some friends to spend the evening. She always come back before midnight but… I started to call her, many times, I couldn’t sleep and… She never answered. That’s not in her habits… I asked her friends, she never arrived. Please miss Bishop, you must find her, I beg you. », les sanglots reprennent. Tu n’as que peu de matière, tu peux ainsi mettre un terme à l’entretien. Avant, tu t’assures de récupérer l’adresse d’arrivée initialement prévue, une photo de la jeune fille de 17 ans, et une description de sa tenue ce soir-là. L’investigation peut démarrer, mais d’ores-et-déjà les doutes t’animent.
Des aubes et des crépuscules d’investigation, des appels passés à tout ton carnet d’adresses. Non pas celui d’Hawkeye, mais bien celui de Kate Bishop, dernière-née de l’Empire Bishop. Lorsque l’on recherche une bien-née, il faut faire appel à la bien-née. Succession d’indices te menant à un seul endroit. Un gala de charité, pour un centre d’orphelins. Malgré tes tentatives, pour t’extirper d’un tel calvaire, tu ne peux y échapper. L’occasion de dépoussiérer une de tes robes de soirées mondaines, conservées « au cas où ». Exit la tenue d’héroïne, c’est désormais affublée d’un léger maquillage, d’une robe violette légèrement brillante et d’escarpins, que tu allais poursuivre ces investigations. Quelques regards se tournent alors que tu pénètres la pièce, tu ne saurais dire si c’est en lien avec ta tenue ou si la caste enivrant les lieux reconnaît sans mal l’héritière Bishop. A en juger les quelques sifflements muets, et les regards noirs de certains, probablement les deux. Tu attrapes une coupe de champagne dès que l’occasion se présente, de quoi t’aider d’un petit remontant pour supporter l’événement, et t’empresses d’analyser les lieux, mais par-dessus tout, la population. Aucun compte en banque ne doit se situer tous les huit chiffres, tu reconnais l’odeur abjecte de ces individus qui pensent leur pouvoir illimité, sans le moindre mal. Tu croises alors le regard d’une femme, vous exprimez mutuellement une certaine surprise. « Miss Bishop. I didn’t expect you there. », s’empresse-t-elle d’exprimer en venant à ta rencontre, hâtive. « Surprise shared, miss Kincain. », réponse froide, compte tenu la situation. Fille disparue, pourtant cela ne l’empêche guère de s’afficher, cocktail chic à la main, dans une telle soirée. « So, what brings you here ? » demandes-tu, cherchant à briser le silence gênant qui venait de s’installer, par deux sourires crispés. « Just being supportive to my fiance. He’s hosting tonight. », voix tremblante alors qu’elle détourne le regard vers ledit fiancé, ou plutôt alors qu’elle fuit tes propres billes inquisitrices. « Oh! He must some kind of « mon seigneur » to stand for orphans. », doux sarcasme. « I should get back to him. It was… nice seeing you here. Hope you enjoy your evening! », elle tente de s’échapper, comme si les chiens des enfers étaient à ses trousses. « Miss Kincain! » t’exclames-tu en posant une main sur son poignet, soulevant son petit sac à main de soirée. « I’ll find your daughter. », ajoutes-tu d’un sourire compatissant. Simple pirouette, pour glisser un micro discret dans son sac à main. Elle te retourne le sourire et s’écarte. Tu tournes les talons, hausses les sourcils alors qu’un homme bien trop jeune pour posséder autant de richesse, te regarde avec insistance. Discrètement tu apportes une oreillette sous ta chevelure brune lâchée. « We have a problem dear, she’s here. », rapide 180 degrés pour t’emparer d’une nouvelle coupe de champagne et observer furtivement le couple, confirmant tes doutes instinctifs initiaux. La nuit se présentait d’ores-et-déjà comme longue.
Des aubes et des crépuscules d’investigation, des appels passés à tout ton carnet d’adresses. Non pas celui d’Hawkeye, mais bien celui de Kate Bishop, dernière-née de l’Empire Bishop. Lorsque l’on recherche une bien-née, il faut faire appel à la bien-née. Succession d’indices te menant à un seul endroit. Un gala de charité, pour un centre d’orphelins. Malgré tes tentatives, pour t’extirper d’un tel calvaire, tu ne peux y échapper. L’occasion de dépoussiérer une de tes robes de soirées mondaines, conservées « au cas où ». Exit la tenue d’héroïne, c’est désormais affublée d’un léger maquillage, d’une robe violette légèrement brillante et d’escarpins, que tu allais poursuivre ces investigations. Quelques regards se tournent alors que tu pénètres la pièce, tu ne saurais dire si c’est en lien avec ta tenue ou si la caste enivrant les lieux reconnaît sans mal l’héritière Bishop. A en juger les quelques sifflements muets, et les regards noirs de certains, probablement les deux. Tu attrapes une coupe de champagne dès que l’occasion se présente, de quoi t’aider d’un petit remontant pour supporter l’événement, et t’empresses d’analyser les lieux, mais par-dessus tout, la population. Aucun compte en banque ne doit se situer tous les huit chiffres, tu reconnais l’odeur abjecte de ces individus qui pensent leur pouvoir illimité, sans le moindre mal. Tu croises alors le regard d’une femme, vous exprimez mutuellement une certaine surprise. « Miss Bishop. I didn’t expect you there. », s’empresse-t-elle d’exprimer en venant à ta rencontre, hâtive. « Surprise shared, miss Kincain. », réponse froide, compte tenu la situation. Fille disparue, pourtant cela ne l’empêche guère de s’afficher, cocktail chic à la main, dans une telle soirée. « So, what brings you here ? » demandes-tu, cherchant à briser le silence gênant qui venait de s’installer, par deux sourires crispés. « Just being supportive to my fiance. He’s hosting tonight. », voix tremblante alors qu’elle détourne le regard vers ledit fiancé, ou plutôt alors qu’elle fuit tes propres billes inquisitrices. « Oh! He must some kind of « mon seigneur » to stand for orphans. », doux sarcasme. « I should get back to him. It was… nice seeing you here. Hope you enjoy your evening! », elle tente de s’échapper, comme si les chiens des enfers étaient à ses trousses. « Miss Kincain! » t’exclames-tu en posant une main sur son poignet, soulevant son petit sac à main de soirée. « I’ll find your daughter. », ajoutes-tu d’un sourire compatissant. Simple pirouette, pour glisser un micro discret dans son sac à main. Elle te retourne le sourire et s’écarte. Tu tournes les talons, hausses les sourcils alors qu’un homme bien trop jeune pour posséder autant de richesse, te regarde avec insistance. Discrètement tu apportes une oreillette sous ta chevelure brune lâchée. « We have a problem dear, she’s here. », rapide 180 degrés pour t’emparer d’une nouvelle coupe de champagne et observer furtivement le couple, confirmant tes doutes instinctifs initiaux. La nuit se présentait d’ores-et-déjà comme longue.
Roleplayed by : jess (elle) ou jean-micheline-j'en-rate-pas-une.
Faceclaim : charleen weiss.
Secrets Révélés : 67
- Spoiler:
C'est tout ce que j'ai à dire.
Duo de l'enfer incoming. Bonne fin de rédaction si c'est pas déjà fini
Invité
La plus EPIQUE des BFF, bienvenue again, fondabrobro
Grave radis à faire les 400 coups chez les Young Jerks
Grave radis à faire les 400 coups chez les Young Jerks
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