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Elektra Natchios

Elektra Natchios


Roleplayed by : Inglorious; Nono (he/him)
Faceclaim : laurel thoma
Secrets Révélés : 17

   
Katherine Elizabeth Bishop
❝ Citation ❞
Auteur
Hailee Steinfeld
crédit : imaginelion
Nom : Bishop, dynastie Manhattanite qui éveille la rancœur des opposants. Pilier de la publication qui laisse un goût amer sur tes lippes encore écorchées par tes frasques. Tu abhorres ce nom et rêve maladivement d'un Barton comme patronyme.
Prénom : Katherine, Ô Katherine, comme cela résonne faux à tes oreilles bercées par le son des flèches que tu décoches. Cela sonne comme la bourgeoisie dans laquelle tu as été baignée alors que Kate, sonne avec autant de panache que tes poings sur les mâchoires des malfrats.
Âge : Vint-six années de turbulences, au grand dam de ton paternel.
Surnom.s : Hawkeye, l'inspiration de l'humanité dans un milieu d'entités divines. Le phare de l'héroïsme, armé d'un arc et de flèches.
Génome : Humaine, l'écarlate liquide qui s'écoule dans tes veines, en guise de rappel de ton éphémère existence.
Groupe : Free minds, l'indépendance comme credo de ton quart de siècle passé, le désir d'agir de ton propre chef pour venir en aide aux rebuts d'une société nécrosée par l'égoïsme.
Nationnalité : Américaine, une véritable enfant de la patrie étoilée, élevée dans les affaires tout en fuyant cette même éducation.
Métier : Détective privée, l'investigation comme adrénaline incessante, la vision d'une vie comme les pièces d'immense puzzle qui ne demandent qu'à trouver leurs voisines.
État Civil : Célibataire, les trop nombreux adultères décelés comme frein au cœur brisé.
Orientation sexuelle : Don't ask.
Avatar : Hailee Steinfeld.
Signe distinctif : texte ici
  • Bornée
  • Impulsive
  • Colérique
  • Sarcastique
  • bagarreuse
  • Indépendante
  • Confiante
  • Juste
  • Déterminée
  • Généreuse
Capacités & Talents
Athlète.
Arts martiaux, tels que self-defence, boxe, jiu jitsu et autres arts non armés.
Une des meilleures archères au monde, si ce n'est la meilleure.
Epeiste.
Violoncelliste.
Dis nous en plus...
Aime • L’odeur du café alors que tes paupières demeurent closes. La sensation du papier gribouillé sous tes doigts. Les hurlements des victimes qui s’éteignent, pour mieux laisser retentir ceux des agresseurs. Le son de l’air fendu par tes flèches qui figent brutalement ces derniers à la paroi la plus proche. Le goût métallique de l’écarlate liquide qui perle sur tes lèvres après un long labeur satisfaisant. La sensation du mystère achevé, pour mieux laisser place au suivant. Les bruits de l’animal qui s’endort paisiblement au pied de ton lit, alors que tes dossiers libèrent une odeur d’encre qui berce tes narines jusqu’au petit matin. Et cette même histoire, qui se répète, mais qui n’est jamais le clone parfait de la précédente. A l’exception de la pizza, peppéroni ou rien.
Aime pas • L’injustice d’un monde plongé dans la terreur, devenant victime de l’égoïsme. L’usage de supériorité physique ou psychique, pour mieux accabler ses proies de sa suprématie. Les traces de café laissées par la tasse oubliée sur le papier, vainement essuyées d’un revers de main. La pizza à l’ananas. Les promesses dépourvues d’action. Les égos démesurées dans un monde appelant à l’humilité et l’unité. La trahison, celle d’une mère envers son enfant. La gueule de bois, celle qui a œuvré au service de l’oubli d’un échec, ou pour accompagner les camarades et leur esprit festif. Les mensonges, prononcés sans remord ni gêne.  
Ses envies • Laisser l’arc s’empoussiérer, briser les flèches dans un craquement sourd. Une ère où Hawkeye n’aurait plus de sens, n’aurait plus de raison d’être. Une ère où les plus démunis n’auraient plus la nécessité d’observer par-dessus leur épaule, terrorisés à l’idée d’être dépossédés du rien qui cliquette au fond des poches. Une ère où les plus munis tendraient la main aux nécessiteux sans avoir de secondes pensées. Une ère où les clients ne débouleraient plus larmoyants, où les clients ne débouleraient plus. Une putain d’utopie parsemée de la rancœur de ton enfance.
Ses peurs • Être faible une nouvelle fois, ne pas être capable d’affronter la menace qui te fait face, véritable phobie de l’impuissance, la paralysie comme souvenir encré sous ta peau. La trahison, par un être à qui une confiance aveugle aurait été donné, même lorsqu’il s’agit d’un lien du sang qui est brisé. La perte de la famille choisie, aussitôt trouvée. Et cet engagement, cet engagement que tu es incapable de prendre, préférant l’éphémère nuit à l’éternel jour
Ses espoirs • Sentir le vent de la paix caresser tes mèches brunes, alors que tu ne serais souciante que de la température de ton café dès ton réveil. Ouvrir tes volets sans risquer d’entre-apercevoir un vaisseau obscurcir l’aube, ou quelconque bourreau venir ternir la Une du lendemain. Tu crois en ce pilier héroïque, ces fondations d’un siècle, tenir comme la plus solide des murailles fasse à l’oppresseur, jusqu’à arracher le cri de la victoire.
Derrière le personnage...
Pseudo : Inglorious ; Nono
Âge : 29
Pays : France
Comment as-tu connu le forum : still have made it
Comment trouves-tu le forum : Via son adresse  ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 2931737732
Fréquence de connexion : Everyday si tout va bien
Kate-aracte.
Elektra Natchios

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Secrets Révélés : 17

   
Histoire
❝ Une belle et pas trop longue citation, enfin, comme tu veux. ❞ Auteur
« Come in, » grommèles-tu, tes paupières encore lourdes et endormies. Quelle idée d’ouvrir cette agence, et devoir respecter des horaires acceptables pour un bureau. Neuf heures, bien trop tôt pour ne plus être sous ta tendre couette, à rêvasser des manières que tu allais pouvoir employer pour faire de la vie de Tommy un enfer, tout comme il te l’impose. Tu déposes aussitôt ta tasse de café estampillée Hawkeye’s Investigations, pour te rendre entièrement disponible pour ta cliente. Tu arbores un grand sourire amical, et te lèves par respect, sans pour autant quitter ton bureau. Tu pointes d’un revers de main la chaise qui se tient disponible. « Please, have a seat. Can i offer you a cup of coffee? » lâches-tu amicalement pour tenter de créer du lien. Tu n’obtiens en retour qu’un léger acquiescement de tête, étouffé dans un sanglot muet. Le regard de la quadragénaire est défait, il ne parvient pas à quitter le sol des yeux. Tu t’empresses de servir la tasse de café promise, cherchant comment briser ce silence pesant, comme à chaque nouvelle rencontre avec un client. « Here, it’ll warm your heart up. », souffles-tu avec douceur et dans un fin sourire de tes lippes rosées par la jeunesse, déposant la tasse fumante sur le bureau de bois de chêne. Tu attrapes une autre chaise par son dossier et l’emportes non loin de la dame, cherchant à créer une proximité rassurante. Instinctivement, par ta générosité innée, tu viens capturer ses phalanges entre tes doigts fins et abimés par les trop nombreuses flèches décochées. « Tell me everything, you can speak freely between these walls. », poursuis-tu en brisant ta nuque pour tenter d’attraper son regard, tentant de lui insuffler toute ta bienveillance. Elle essuie son nez d’un revers de main, prend une inspiration et s’élance. « It’s my… my daughter. She’s been missing for two days. With… With everything that’s going on these days, I’m afraid that she may have… may have… », elle ne parvient pas à finir sa phrase, à la simple pensée qui doit se jouer dans son esprit. Ce scénario qui doit sans nul doute tourner en boucle comme un refrain que l’on ne parviendrait pas à extirper de son crâne, jusqu’à en perdre raison. Tu ressers un peu l’étreinte de tes doigts. « It’s okay, don’t worry, you can let it go. », rassures-tu la divorcée – tu notes la trace presque disparue de feu l’alliance à son annulaire – alors que tu attrapes de ta main libre la boîte de mouchoirs, accessoire indispensable, qui se tient sur ton bureau. Tu la rapproches de vous et en extirpes trois pour les tendre à la cliente. Elle s’en empare et les apporte à ses yeux humides. « When and where exactly have you seen her for the last time? And did anyone else see her more recently? », questions de base pour ce type d’affaire, mais essentielles pour démarrer l’assemblage des pièces du puzzle. Le temps qu’elle reprenne ses esprits, tu te lèves et t’écartes pour te mettre dans un coin de la pièce. Bras croisés sur ta poitrine, tu l’envisages du regard. Pantalon noir luxueux, chanel à en juger par les coutures. De légers éléments viennent en perturbant la teinte. Tu plisses les yeux, jusqu’à identifier des poils. Tu observes Lucky endormi dans son panier, du coin de l’œil. Non, pas les siens. Un chat, persan. Chemisier écru, mousseline de soie, aucun détail particulier. Tu observes désormais sa chevelure, un chignon parfait. Une coloration, la teinte est différente des sourcils. Chevelure brune, mais châtain au naturel. Escarpins noirs, peu d’originalité et de fantaisie dans les couleurs. Femme d’affaires. Manhattan, assurément, tu les connais par cœur, merci les dîners d’affaires à domicile lors de ton enfance, ton paternel t’imposant de rester cloîtrer dans ta chambre pour ne pas interférer – fâcheuse tendance à mettre ton nez partout. Manucure parfaite, vernis rouge. Tu notes deux ongles rongés, stress très certainement. Etrange, disparue depuis deux jours, seulement deux ongles abimés… Tu fronces les sourcils. Boucles d’oreilles en or, plusieurs carats, tout comme les pierres qui s’y trouvent. Elle peut assurément se payer les meilleurs détectives de New York mais c’est à ta porte qu’elle vient sonner, agence ouverte depuis moins de deux ans, et elle vient te faire confiance à toi, du haut de tes vingt-six années. Ce n’est guère dans l’habitude de cette clientèle de daigner venir voir la jeune Kate Bishop. Le nom, réputé, qui aurait pu l’inciter ? Tu mets tes doutes de côté lorsqu’elle daigne enfin rompre le silence. « Madison avenue. She left home to join some friends to spend the evening. She always come back before midnight but… I started to call her, many times, I couldn’t sleep and… She never answered. That’s not in her habits… I asked her friends, she never arrived. Please miss Bishop, you must find her, I beg you. », les sanglots reprennent. Tu n’as que peu de matière, tu peux ainsi mettre un terme à l’entretien. Avant, tu t’assures de récupérer l’adresse d’arrivée initialement prévue, une photo de la jeune fille de 17 ans, et une description de sa tenue ce soir-là. L’investigation peut démarrer, mais d’ores-et-déjà les doutes t’animent.

Des aubes et des crépuscules d’investigation, des appels passés à tout ton carnet d’adresses. Non pas celui d’Hawkeye, mais bien celui de Kate Bishop, dernière-née de l’Empire Bishop. Lorsque l’on recherche une bien-née, il faut faire appel à la bien-née. Succession d’indices te menant à un seul endroit. Un gala de charité, pour un centre d’orphelins. Malgré tes tentatives, pour t’extirper d’un tel calvaire, tu ne peux y échapper. L’occasion de dépoussiérer une de tes robes de soirées mondaines, conservées « au cas où ». Exit la tenue d’héroïne, c’est désormais affublée d’un léger maquillage, d’une robe violette légèrement brillante et d’escarpins, que tu allais poursuivre ces investigations. Quelques regards se tournent alors que tu pénètres la pièce, tu ne saurais dire si c’est en lien avec ta tenue ou si la caste enivrant les lieux reconnaît sans mal l’héritière Bishop. A en juger les quelques sifflements muets, et les regards noirs de certains, probablement les deux. Tu attrapes une coupe de champagne dès que l’occasion se présente, de quoi t’aider d’un petit remontant pour supporter l’événement, et t’empresses d’analyser les lieux, mais par-dessus tout, la population. Aucun compte en banque ne doit se situer tous les huit chiffres, tu reconnais l’odeur abjecte de ces individus qui pensent leur pouvoir illimité, sans le moindre mal. Tu croises alors le regard d’une femme, vous exprimez mutuellement une certaine surprise. « Miss Bishop. I didn’t expect you there. », s’empresse-t-elle d’exprimer en venant à ta rencontre, hâtive. « Surprise shared, miss Kincain. », réponse froide, compte tenu la situation. Fille disparue, pourtant cela ne l’empêche guère de s’afficher, cocktail chic à la main, dans une telle soirée. « So, what brings you here ? » demandes-tu, cherchant à briser le silence gênant qui venait de s’installer, par deux sourires crispés. « Just being supportive to my fiance. He’s hosting tonight. », voix tremblante alors qu’elle détourne le regard vers ledit fiancé, ou plutôt alors qu’elle fuit tes propres billes inquisitrices. « Oh! He must some kind of « mon seigneur » to stand for orphans. », doux sarcasme. « I should get back to him. It was… nice seeing you here. Hope you enjoy your evening! », elle tente de s’échapper, comme si les chiens des enfers étaient à ses trousses. « Miss Kincain! » t’exclames-tu en posant une main sur son poignet, soulevant son petit sac à main de soirée. « I’ll find your daughter. », ajoutes-tu d’un sourire compatissant. Simple pirouette, pour glisser un micro discret dans son sac à main. Elle te retourne le sourire et s’écarte. Tu tournes les talons, hausses les sourcils alors qu’un homme bien trop jeune pour posséder autant de richesse, te regarde avec insistance. Discrètement tu apportes une oreillette sous ta chevelure brune lâchée. « We have a problem dear, she’s here. », rapide 180 degrés pour t’emparer d’une nouvelle coupe de champagne et observer furtivement le couple, confirmant tes doutes instinctifs initiaux. La nuit se présentait d’ores-et-déjà comme longue.
Laura Kinney

Laura Kinney


Roleplayed by : jess (elle) ou jean-micheline-j'en-rate-pas-une.
Faceclaim : charleen weiss.
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   https://awaken.forumactif.com/t46-laura-kinney-not-good-w
Spoiler:

C'est tout ce que j'ai à dire.
Duo de l'enfer incoming. Bonne fin de rédaction si c'est pas déjà fini ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 3537017459
Invité
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La plus EPIQUE des BFF, bienvenue again, fondabrobro ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 1517886113

Grave radis à faire les 400 coups chez les Young Jerks ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 1162530697 ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 1024321553 ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 299038788 ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 3026334015 ((kate)) ↨ i have to learn to stop talking 1574034803
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