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((natasha))►◄ they have so many names for you

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Natalia Alianovna Romanova
❝ Citation ❞
Auteur
scarlett johansson
crédit : esmerald
Nom complet : Natasha Alianovna Romanoff, version anglicisée de son nom russe Natalia Alianovna Romanova
Âge : Née en 1928, 94 ans.
Surnom.s : Black Widow.
Génome : Humaine améliorée
Groupe : texte ici
Nationnalité : Russe, née à Stalingrad, en URSS. Connue aujourd'hui sous le nom de Volgograd, en Russie. Américanisée.
Métier : Espionne et directrice de la White Room.
État Civil : Veuve.
Orientation sexuelle : Il n'y a pas de limite à ce que la Veuve Noire peut désirer.
Avatar : Scarlett Johansson
Signe distinctif : Diverses cicatrices sur le corps après des décennies de combats incessants.
  • Défaut1
  • Défaut2
  • Défaut3
  • Défaut4
  • Défaut5
  • Qualité1
  • Qualité2
  • Qualité3
  • Qualité4
  • Qualité5
Capacités & Talents
Physiologie artificiellement améliorée (sérum).
Maître d'arts martiaux.
Intelligence adaptable.
Assassinat.
Expertes en armes.
Espionne légendaire.
Polyglotte.
Dis nous en plus...
Aime • Les corps qui convulsent de la morsure de la veuve, les âmes qui débordent du regard, suppliant une mort définitive plutôt que la poursuite du calvaire que tu infliges. L'odeur de la poudre alors que ton index presse la détente, libérant ce flash lumineux aussi rapide que ta capacité à ôter la vie. L'air qui caresse ton visage au gré des voltiges. Le sentiment de liberté alors que tu arpentes les toits d'une ville, ce pouvoir que tu ressens en infiltrant quelconque organisation pour mieux la broyer depuis ses entrailles. Être une arme, plus létale que celles que tu manipules. Tu aimes tout ceci, autant que tu en éprouves de la haine.
Aime pas • L'absence d'identité, l'inconnue de tes origines. L'abandon vécu dès ta naissance, pour mieux te confier aux griffes de la manipulation. L'idée d'avoir été modelée à l'image des pensées abjectes de tes créateurs, te privant de tout libre-arbitre, pour mieux te faire apprécier ce que tu n'as pas jamais eu le luxe de choisir. Tu détestes par-dessus tout, aimer ce que tu es devenue, alors que tu tentes de fuir depuis de bien trop nombreuses décennies, sans jamais apercevoir la lumière de la liberté.
Ses envies • Rendre au Monde sa liberté, qu'importe le prix. Obtenir cette vengeance qui murie depuis deux années, au plus profond de ton âme esseulée. Relancer le rêve, redémarrer cette matrice, pour quitter ce cauchemar que tu arpentes. Dangereux désir de boucle éternelle, revêtir des œillères pour mieux échapper à la réalité.  
Ses peurs • Ne jamais être capable de quitter le chemin emprunté depuis près de 90 années. Perdre ton identité profonde qui d'ores-et-déjà ne tient qu'à un fil, pour ne plus jamais pouvoir discerner le vrai du faux, le bien du mal, jusqu'à ne plus pouvoir trouver tendresse à la simple vue de ton enfant.
Ses espoirs • Envolés depuis de trop nombreuses décennies, tu n'as jamais eu quelconque espoir. Tu as rejoint le camp de ceux que l'on appelle "gentils" dans la folle idée de pouvoir te racheter de tes péchés, tourner le dos à ton passé. Qu'importe tes actions, jamais ton destin ne cessera de te rappeler d'où tu viens, ni qui tu es. Ou plutôt, qui tu n'es pas.
Derrière le personnage...
Pseudo : inglorious
Âge : 29
Pays : France
Comment as-tu connu le forum : Dans un bar autour d'un mojito
Comment trouves-tu le forum : oune pepito de mucho calor (aucun sens)
Fréquence de connexion : 94 mhz
Poutre.
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Histoire
❝ i'm my own woman, first last and always. ❞ Natasha Romanoff
« How many more jobs... How long will it take... I don't know if I can do it... Even if I could forgive myself... This is what I am now. And you'll never know who I was before. »

part i . « I’ve been to hell before, little girl. It was called the Red Room. »

Tes phalanges usées, desquelles perlent de bien trop nombreuses gouttes écarlates, de plus en plus nombreuses, dans un écoulement ininterrompu. La Seconde Guerre Mondiale s’apprête à gronder, à l’instar de tes poings qui viennent fracasser le mannequin te servant de cible.  « Don’t stop until i say so, » souffle froidement l’instigatrice des lieux. Vingt-huit enfants, d’une dizaine d’années, passant leurs journées à se tuer à la tâche. Toutes, avez pour croyance un rude entraînement de ballerine pour le théâtre Bolchoï. Simples souvenirs implémentés dans vos esprits naïfs et malléables, pour en dissimuler la vérité : un programme visant à faire de vous les plus mortelles espionnes du monde. Le Black Widow Ops Program. Tu oublies la fatigue, l’épuisement ne t’est pas permis. Amenée en ces lieux par Staline lui-même, alors qu’Ivan Bezukhov – ton père adoptif – était à la recherche d’une école toute particulière pour éviter les orphelinats traditionnels du pays. L’urss, s’attèle dès lors à faire de toi l’arme de la Mère Patrie. Taras Romanoff, le maître espion, te prit sous son aile pour parfaire l’idée de Staline, faire de toi le visage inconnu de la nation, soit disant liée au Tzars grâce à ce nom équivoque. Lorsque ce ne sont pas tes poings qui viennent torturer ce mannequin, ce sont tes balles. Lorsque ce ne sont pas tes balles, ce sont les lames de tes couteaux. Lorsque tu n’infliges pas de douleur, tu es celle qui les subit. Ils jouent avec ton esprit, te font oublier d’où tu viens réellement pour implanter les idées émanant de leurs esprits aussi tordus que malades.

Tu dois danser, encore et encore. Tu dois être la meilleure, et cela passe par l’oubli de cette douleur qui ronge la pointe de tes pieds. Tu tournes sur toi-même, encore et encore. Après chaque chute, tu te relèves, essuyant d’un revers de main le sang qui s’amoncèle au coin de tes lippes. « Again, » le ton te glace le sang, mais tu poursuis. Tu observes ton reflet dans le miroir, l’écho de ton âme menant cette danse endiablée. Illusion, qui masque les coups que tu assènes à ta partenaire du programme. Quatorze binômes, s’imaginant danser, vos yeux mentant à vos cerveaux de la même manière que ceux vous ayant menés ici vous mentent. Les arts martiaux peuvent être comparés à une danse, dont le divertissement est troqué pour de la souffrance. Le ballet est mené, sous des airs mortels. « Killing people is easy, making them suffer is an art, » ajoute-t-elle tandis que ses traits ne bronchent pas, conservant leur froideur légendaire. La seule expression que tu as pu constater sur son visage, est celle d’un sourcil qui s’agace par la déception que l’une de vous peut provoquer. Ta jambe s’allonge, ton corps penche en avant, et ton pied parvient à atteindre ton visage pour le dépasser, et cogner ta partenaire dans ce mouvement d’une fluidité et souplesse insoupçonnées. La contre-attaque tout aussi gracieuse est prononcée aussi tôt, te faisant rencontrer le sol glacé, tête la première. « Get up, Romanova. Again, » surenchérit-elle, impartiale. « Yes, headmistress. » rétorques-tu sans vie dans la voix. De nouveau, tu essuies le sang de tes lippes d’un revers de main, tant et si bien que ta manche ne semble plus pouvoir en éponger davantage.


part ii . « The future’s just another bad day. »

« Natalia, do you remember a soldier named Ivan ? » demande ton mentor accompagné d’un homme aux allures d’animal. Tu ne prends pas même l’initiative de quémander l’identité de l’individu, ton regard livide se perdant dans le liquide fumant de ta boisson. Tu observes sans observer, ton âme se voulant à moitié disparue. « No, dad. », réponds-tu mécaniquement, constatant la veste affublée d’insignes militaires ; sans que ton cerveau ne fasse le moindre lien. Taras semble plus que satisfait, et tu n’en comprends pas le sens. L’absence de souvenirs semble combler ses attentes. L’homme, quant à lui, demeure impassible. Si tu étais plus en contrôle de tes pensées, tu oserais la curiosité. Il n’en est rien. Tu te contentes d’écouter d’une oreille la suite de la conversation, sans t’infliger la peine de mémoriser les mots prononcés. Tu es dans l’incapacité de le faire, à vrai dire. On ne te l’a pas demandé, alors tu ne t’exécutes pas.

« Who are you ? », demandes-tu enfin, quelques heures plus tard, alors que vous revêtez tous deux le kimono d’entraînement. « Who am i ? No idea ! » rétorque-t-il un sourire malicieux au coin des lèvres, alors que la paume de sa main vient cogner violemment ta mâchoire. Les échanges de coups se poursuivent, un certain plaisir venant s’ajouter à l’équation suite à sa réponse. « Ah ! Me neither ! But i think we’ll have both a long time to find out, » souffles-tu arrêtant la jambe de Logan tentant de se frayer un chemin jusqu’à tes côtes. Tu le repousses, et accompagnes le mouvement de ton coude, pour le percuter en retour. « Kid, don’t trouble yourself with the future. The future’s just another bad day. », lâche-t-il, visiblement peu déstabilisé par le coup que tu viens de lui assener, malgré la gerbe de sang.

« Ivan, Logan killed Taras. That was his mission here. I let him go. », trois mois se sont écoulés, te voilà isolée dans cette forêt drapée du blanc de la neige sibérienne. « And you’ve been living out here since then ? », rétorque ton père adoptif dont tes souvenirs en sont miraculeusement revenus. « I let him go because i decided i liked him more than i liked Taras. That was it. That was all there was. And i still don’t feel bad. » ajoutes-tu mécaniquement, peinant à lier ta parole à ta pensée. Tu agis sans raison profonde, guidée par l’instinct de pensées éparses. Tu ne sais pas qui tu es, tu n’as jamais su. Désormais, tu suis Ivan, grâce à une confiance que tu ne parviens pas à expliquer.

part iii . « They have so many names for you. »


 Mille neuf cent cinquante-sept, tu te tiens dans le bureau du général Pushkin, un thé aux arômes de vodka entre tes mains. Tu n’en comprends pas ta présence, mais cela ne t’inquiète pas plus que cela. Le KGB fait appel à tes services, toi, danseuse du Bolshoï. Pourquoi ? Une question qui ne traverse pas même ton esprit. L’urss ne s’explique pas, si la Mère Patrie requiert tes services, alors tu réponds présente sans t’y opposer. « Comrade colonel Shostakov, comrade Romanova, please excuse me, i’m called away on business. I’ll leave you kids to get better acquainted. » s’esclaffe le général avant de quitter la pièce, une surprenante satisfaction dans la voix qui ne t’interpelle pourtant pas. « Please, you can call me Alexei. » se permet le colonel avec qui tu te trouves dès lors en tête à tête. « Call me whatever you like, but my name’s Natalia. » souffles-tu sans accrocher son regard, tes yeux se perdant au loin, ne percevant ainsi que l’ombre de ses traits dans ta vision périphérique. « So, Na… Tasha ! What do you do to serve the glorious advancement of the worker’s paradise ? » s’enquit-il de demander, dans le cadre de cette connaissance à explorer à la demande du général Pushkin. Ta vision se trouble, la question mène confusion dans ton esprit. « What do i… ? », répètes-tu, à la recherche de tes mots. Ta main se porte à ton front, une douleur vive te pique. Des images te viennent à répétition, bien éloignées les unes des autres. Ta propre vérité semble enfouie derrière différentes couches de mensonges, ou est-ce le mensonge qui se cache derrière une vérité ? Tu ne sais plus émettre la moindre différence. « I’m one of twenty eight young ballerinas with the Bolshoi. The training is hard, but the glory of soviet culture… And the warmth of my parents. My… parents makes up for… No, that’s not right… I’m one of twenty eight black widow agents with the Red Room. The training is hard, but the glory of soviet supremacy… And the warmth of my parents. All my… parents makes up for… You’ll have to excuse me… », ton verre glisse de ta main, fragilisée par les tremblements soudains qui te prennent, eux-mêmes provoqués par l’égarement de tes pensées. « A secret agent ? What are you talking about ? How old are you ? », s’empresse-t-il de demander, alors que tu l’observes ramasser les plus gros bris de verre sur le sol du bureau du général Pushkin. Tu es immobile, figée par l’horreur que ton incapacité à déceler la vérité te fait ressentir. Ton palpitant se tord, ta respiration se veut haletante. « Seventeen. Twenty-nine. And i should tell you i’m single. Seeing someone. »

Les semaines s’écoulent, ton esprit se perd davantage dans les tréfonds d’une mémoire douteuse. Ta relation avec le Winter Soldier a dû prendre fin pour permettre ton mariage avec le colonel Shostakov et permettre à votre couple de prendre part aux opérations du KGB pour le compte de l’urss. Considérés comme les meilleurs agents de votre temps, ta loyauté envers ton pays t’y mène sans que tu ne bronches. Partagée entre le Bolshoï et la Red Room, tu avances au gré des ordres que l’on te donne. L’arme est en place. L’arme est vacillante, d’autant plus dangereuse. L’arme n’a pas de limite. « I can’t tell what’s real anymore. »

part iv . « Running in the shadows is what she was born to do. »

Les années se sont écoulées, ton âme appartient désormais aux temps modernes. Vagabondant de l’Est à l’Ouest, ton identité semble s’être partagée. Ou plutôt, tes identités. Les doutes se sont immiscés à ton esprit, jusqu’à ce que la vérité soit tienne ; vérité sur la Red Room. Tu n’es que l’objet d’un programme scientifique et psychologique, te permettant ainsi de fouler la Terre après presque un siècle ; tout en peinant à te souvenir de là d’où tu viens. La Red Room ne représente que des fragments, éparpillés dans ton subconscient. Certains noms de cette époque resurgissent par moments. Tu as commis des horreurs, innombrables et surtout, innommables. La meilleure parmi les vingt-huit jeunes femmes, bercées dans l’illusion d’une équipe de ballerines pour le compte du théâtre Bolshoï. La femme la plus dangereuse du monde pour certains, l’espionne la plus douée pour d’autres. Tu n’as jamais eu d’identité propre, et de cette manière tu n’as jamais appartenu à la moindre équipe d’une manière stable. Agent du shield, avenger, leader des champions… Tu n’as eu de cesse de parcourir le monde accompagné de visages différents, dans l’idée simple et unique de racheter tes péchés. Tes méthodes non conventionnelles pour cette optique, faute à ceux qui t’ont façonné ainsi, ont été des obstacles à ton intégration en ce monde. Tu as toutefois rencontré sur ta route des êtres que tu pourrais aisément appeler famille si tant est que tu puisses comprendre toute notion de ce concept. Certains sont des fantômes du passé, que tu as peiné à reconnaître. Hydra n’ayant de cesse de te poursuivre comme des charognards infernaux, avec pour dessein de faire de ta vie un enfer. Il y a trois ans, ils ont pourtant apporté l’Espoir sur ta sombre existence. Des souvenirs effacés une fois de plus, pour mieux t’intégrer à l’utopie qu’ils t’ont façonnée. Un mari aux traits similaires de ton amant du passé, répondant du même nom, ainsi qu’un enfant, officiellement né de votre amour, officieusement issu de la fusion de vos génétiques. Au feu se sont envolées les cendres de ta vie d’espionne, pour mieux te faire endosser cette carrière d’architecte, plus vraie que nature, dans une vie familiale banale et pourtant rêvée depuis une éternité. Puis, l’illusion s’est envolée, lorsque tes compagnons d’autrefois sont venus t’extirper à cette matrice montée de toutes pièces. Malgré le retour de tes souvenirs, ton regard demeurait inchangé face à cette famille créée, et le désir de poursuivre le rêve, restait aussi solide que ta volonté légendaire. Il était l’heure pour toi de quitter les sentiers de la ballerine forgée en urss, pour mieux profiter de ce qui semblait encore être irréel, brûlant de l’ardent désir que ce rêve ne cesse jamais. Mais la tranquillité est un luxe qui t’est interdit, tout autant que la stabilité, et ce n’est autre que l’invasion Skrull qui viendra transformer tes songes désormais matérialisés en cauchemar éveillé. La mort de James dans l’attaque te rend veuve, et ainsi mère célibataire. La colère reprend le dessus, ta poigne se resserre sur la crosse de ton arme, tandis que tu portes Stevie de ton bras libre. Retour à la maison. Cette identité ne te quittera jamais, triste fatalité que tu portes au bout de ton index, qui trouve refuge sur la gâchette.
Laura Kinney

Laura Kinney


Roleplayed by : jess (elle) ou jean-micheline-j'en-rate-pas-une.
Faceclaim : charleen weiss.
Secrets Révélés : 67

   https://awaken.forumactif.com/t46-laura-kinney-not-good-w
Ce modèle qu'est Natasha. Je pense qu'on aime tous Black Widow. Je ne crois pas avoir déjà entendu quelqu'un dire "bof bof" ou "peut mieux faire". La badassitude de cette femme est d'une supériorité.

Super choix de deuxième personnage et EVIDEMMENT, un jour je veux un rp (qu'on utilise ou non la rencontre de BW et Laura dans les comics), I need it !

Bon courage pour cette fiche, quoiqu'elle a l'air bien avancée (finie ?) ((natasha))►◄ they have so many names for you 3537017459
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Ai-je besoin de vraiment te souhaiter la bienvenue ici, fondabrobro ? ((natasha))►◄ they have so many names for you 2931737732 ((natasha))►◄ they have so many names for you 1517886113 ((natasha))►◄ they have so many names for you 4114549356 ((natasha))►◄ they have so many names for you 1589627835

Team Cap on fiiiire avec la plus belle espionne du monde ((natasha))►◄ they have so many names for you 2149432806

Me tarde de voir quelle toile de secrets tu vas tisser avec tes savoir-faire d'espionne fourbe, nous sachons ((natasha))►◄ they have so many names for you 3010191211
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