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Steven G. Rogers # I don't like bullies, i don't care where they're from

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Steve Rogers
❝ The price of freedom is always high ❞
Steve Rogers
Chris Evans
crédit : odistole
Nom : Rogers
Prénom : Steven Grant
Âge : 102 ans- Né le 4 juillet 1920
Surnom.s : Captain America, Commandant Rogers (SHIELD), Nomad, La Sentinelle de la Liberté
Génome : Optimisé
Groupe : Avengers Camp
Nationalité : Américain
Métier : Leader des Avengers, Directeur de l'Avengers Camp, Grade Commandant au SHIELD
État Civil : Célibataire
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Avatar : Chris Evans
Signe distinctif : Aucun, et pourtant il est unique et reconnaissable entre mille
  • Nostalgique
  • Inflexible
  • Renfermé
  • Trop sérieux
  • Intransigeant
  • Charismatique
  • Altruiste
  • Déterminé
  • Protecteur
  • Simple
Capacités & Talents
Sérum du super-soldat
Combattant expert
Expert militaire
Leadership
Coeur pur (peut soulever Mjollnir, est incorruptible, profondément bon)
Dessinateur talentueux
Mémorisation supérieure
Dis nous en plus...
Aime • Plus que tout, Steve aime la simplicité. Il n'a jamais été un homme compliqué, il va à l'essentiel et il apprécie quand les choses et personnes autour de lui sont ainsi elles aussi. L'honnêteté, la générosité, la compassion sont d'autres choses qu'il aime plus que tout car lui-même ne sait pas agir différemment qu'en appliquant ces éléments dans sa propre vie quotidienne, sans même y penser. Il apprécie plus souvent le calme que les soirées et événements bruyants, bien qu'il ne déteste pas non plus pour autant et soit capable d'apprécier la compagnie joviale de ses amis. Il est juste davantage solitaire et tranquille, amateur de lecture et de dessin, capable de gribouiller des croquis en se posant n'importe où avec un papier et un stylo quand l'envie lui prend. Steve aime bien sûr aider son prochain, ça ne fait aucun doute, et sauver la Terre n'est que l'extension grandiose de ce trait de caractère. Enfin, le soldat aime le sport, et les choses carrées et rangées, comme tout militaire.
Aime pas • En toute logique, Steve déteste par-dessus tout la méchanceté, a fortiori la méchanceté gratuite. Les brutes qui ont la violence facile sur plus faible qu'eux, il les a subis toute sa jeunesse, et ne le supporte pas, d'où sa réaction immédiate pour s'interposer, et ça bien avant d'avoir reçu le super-sérum. Il n'aime pas vraiment les débordements moraux de ce nouveau monde dans lequel il vit désormais depuis de longues années. Il s'y est habitué, mais de là à aimer, c'est autre chose.
Ses envies • Autrefois, à son époque, Steve rêvait de trouver l'amour, et de fonder une famille, tout en servant son pays. Le rêve américain classique, un bonheur familial simple et la satisfaction du devoir accompli chaque jour. Mais ce rêve lui a été arraché durant la guerre et les décennies de sommeil cryogénique. Aujourd'hui, Steve a malgré tout toujours ce rêve tapi au fond de lui, bien qu'il ne croit plus une seule seconde en la possibilité de le réaliser du fait de sa vie mouvementée en permanence au sein des Avengers et du reste. De manière plus abordable, Steve aimerait que cette guerre avec les Skrulls cesse enfin, évidemment par leur victoire, pour retrouver une Terre vivable et cesser le massacre généralisé. Il aimerait aussi que ses amis trouvent le bonheur, car rien ne le rend plus heureux que le bonheur des autres, à défaut de pouvoir trouver le sien dans ce décalage douloureux qu'est sa vie hors du temps.
Ses peurs • Steve n'a pas peur pour lui. La peur n'est pas sa marque de fabrique le concernant. En revanche, il a peur pour autrui, et en première ligne, son entourage. Cette famille et ces amis qu'il a réussi à se reconstruire dans cette nouvelle époque, et qui représentent tout pour lui. Il a donc peur de les perdre un jour au combat, ce qu'il sait probable tôt ou tard de par leurs vocations de Héros. Il a vu tant de ses camarades tomber durant la Guerre, et même celles plus récentes, que cette peur restera à jamais ancrée en lui, sans pouvoir s'y habituer malgré sa carrure de leader naturel. Une autre peur, plus profonde, est liée à cette fausse immortalité qui semble lui coller à la peau : il a peur de rester le dernier debout et de finir seul de nouveau, comme lorsqu'il a perdu tous ceux de son époque passée à l'exception de Bucky.
Ses espoirs • L'espoir est ce qui le fait avancer, malgré sa nostalgie prégnante. Steve espère toujours gagner, il espère toujours vaincre les criminels ou ennemis qui viennent sur sa route et celle de ses valeurs, de ses amis, de son pays, de sa Terre. Il espère qu'un jour, davantage de gens se tourneront vers les mêmes valeurs simples mais altruistes qui sont les siennes, au lieu de céder aux sirènes faciles de la peur et de la haine d'autrui. Et il a espoir, bien sûr, de trouver l'amour de nouveau, malgré l'ombre de Peggy qui demeure en lui à travers les âges.
Derrière le personnage...
Pseudo : Alek
Âge : //
Pays : France
Comment as-tu connu le forum : //
Comment trouves-tu le forum : //
Fréquence de connexion : //
I can do this all day.
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Histoire
❝ Une belle et pas trop longue citation, enfin, comme tu veux. ❞ Auteur
Les films en noir et blanc, les casquettes de velours, les bretelles par-dessus des chemises repassées impeccablement et tout aussi impeccablement rentrées dans des pantalons en toile, les premières Harley, les téléphones aussi larges que des avant-bras, les sorties dominicales après la messe à Central Park pour pique-niquer tout près du lac avec ma mère, les bagarres dans la cour de récré ou plutôt, les coups que les grosses brutes me donnaient dès qu'ils apercevaient ma frêle silhouette. Ou encore, l'odeur particulière des vieilles cartes du continent européen rougi par le nazisme, les tracés au compas, les traductions simultanées en fond de salle des renseignements extérieurs, le bruit de succion de la boue malodorante sous mes pas dans les campagnes françaises éventrées par les obus. Le bout de mine de ce crayon au creux de ma main dessinait presque inconsciemment ces bribes de souvenirs qui restaient perpétuels dans mon esprit, ignorants des klaxons et autre bavardages divers autour de moi aux tables de ce café tranquille où je m'étais arrêté faire escale depuis bientôt une heure. J'appartenais à cette époque, cette époque lointaine où les idéaux et les convictions se marquaient au quotidien face à l'horreur des journaux, où la Constitution Américaine et les grands principes de la Liberté brillaient de mille feux dans chaque coeur. Oui, j'étais de cette époque, mais cette époque n'est plus la mienne.  

« Un autre café peut-être ? » Je quittai mes songes pour lever les yeux vers la serveuse qui me souriait. J'étais arrivé à l'ouverture, l'aube à peine levée. « Non merci, » répondis-je un peu confus, n'ayant pas plus gagné en assurance face à la gent féminine qu'il y avait une soixantaine d'années. Je plongeai la main dans la poche intérieure de ma veste en cuir marron, comptant rapidement mentalement la monnaie que j'en tirai dans ma paume. « Oh non non, laissez, c'est la maison qui offre ! » s'agita la serveuse toute pétillante en secouant sa main devant moi pour me faire arrêter mon geste. « On vous doit tous tellement vous savez, revenez quand vous voulez, vraiment, » précisa-t-elle, les yeux brillant d'admiration et de ce phénomène de groupie dont Tony ne cessait de me parler. « Ca me gêne, j'insiste pour payer, je suis un citoyen normal et je... » « C'est moi qui insiste ! Vous ne payez rien ! » répéta-t-elle souriante en débarrassant mon café sur son plateau en main, avant de repartir vers une autre table, non sans un regard vers moi.

Je me sentais mal. C'était stupide. Mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Il s'agissait d'un tout. Ces gens, tous ces gens qui me regardaient régulièrement de biais depuis que j'étais venu me poser à cette table, m'admiraient. Ils admiraient chacun des Vengeurs. Mais ceux d'un certain âge, l'ancienne génération, la mienne à vrai dire, m'admirait pour tout autre chose que mes dernières aventures au sein des Avengers. La différence était flagrante à vrai dire. Dans leurs regards se marquaient le respect de cette époque vécue, trouble, difficile, marquée autant d'horreurs que d'espoirs. Pour eux, j'étais un de ces espoirs. J'avais été la bannière étoilée qui s'était dressée face au nazisme. J'étais le soldat sorti de la masse, héroïque, sans peur et sans reproches, qui avait renvoyé Hitler d'où il venait. Leur respect était bien plus solennel, bien moins clinquant. Ces personnes âgées, me rendaient humble face à mon histoire. Ils me rappelaient pourquoi je me battais, bien plus efficacement que les jeunes adolescentes qui montaient des groupes sur moi sur ces réseaux sociaux que Tony vantait tant. Quelque chose provenant de ce monde déréglé dans lequel je ne me reconnaissais pas.

Debout près de la table, je rangeai mon petit carnet à dessins dans la poche intérieure de ma veste et, après un regard vers la serveuse partie plus loin et ne me voyant pas, je laissai sur la table la somme due, ainsi qu'un pourboire, avant de partir. C'était stupide. Mais rien que cette insistance à me refuser ce seul plaisir de payer mon café me bloquait. Et ce qui m'agaçait encore plus, était cette façon que j'avais de tout prendre mal dans ce nouveau monde, sans jamais le montrer cela dit. J'étais vivant malgré cette chute censée être mortelle que j'avais fait droit dans les eaux glacées pour détourner l'attentat de Crâne Rouge. J'étais vivant, et pourtant je ne me sentais pas vraiment comme tel. Ni mort, ni vivant. Entre les deux, de la même manière que j'étais entre deux mondes. Un monde de souvenirs, un monde concret dans lequel je peinais à m'intégrer. Mais le voulais-je vraiment de toute façon ?

J'avais espéré qu'en me forçant à parcourir cette nouvelle époque, qu'en me forçant à aller la voir, la comprendre, je finirais par ne plus la voir avec indifférence, je ne finirais plus par m'y sentir si mal. Mais c'était tout le contraire qui se produisait. J'y croisais des gens, des tas de gens, tous différents, tous indifférents les uns aux autres, tous penchés sur leurs écrans tactiles, tous parlant dans leurs oreillettes ou écoutant de la musique. Isolés de leur environnement quotidien, mais sans les raisons valables qui étaient les miennes. Ils vivaient dans l'inconscience, dans l'indifférence, et cet individualisme me rebutait.

Mon coeur n'y était pas. Il était resté coincé dans cette époque perdue. Il était resté auprès de cette mère aimante qui avait toujours su s'occuper de moi malgré notre situation plutôt pauvre, permettant à ce petit garçon que j'avais été de ne pas accorder trop d'importance à son père défaillant, sans emploi, alcoolique. Il n'était pas un mauvais homme, juste un homme perdu, sans but, sans conviction. Pas méchant. Juste inexistant. C'était atroce à considérer, mais je n'étais pas un menteur, ni envers les autres, ni envers moi-même. Ma mère avait bien plus compté pour moi que mon père. Et ma sensibilité n'avait pas aidé à me rendre fort durant mon enfance. Quand je repensais à ce que j'étais avant le sérum, il était dur de réaliser le revirement absolu que j'avais subi. Avant, petit garçon frêle, fragile, chétif, émotif, mais déjà courageux et têtu. Aujourd'hui, grand homme à large carrure et aux expressions faciales modérées, parfaitement maitrisées. Juste une carapace, celle du leader que j'étais.

Je retrouvai ma Harley garée non loin et l'enfourchai pour prendre la route, direction l'Avengers Camp. Comme chaque jour, et lorsqu'aucune mission ou urgence ne m'appelait au front, je m'attelais à former les nouvelles recrues destinées à mener la guerre de front avec nous, les Héros et autres soldats officiels. Tous les volontaires étaient les bienvenus et leur bonne volonté était tout ce que je demandais pour en faire de vrais soutiens sur le champ de bataille, sans risquer de les envoyer à l'abattoir mal préparés. Je dédiai mes journées à cette tâche des plus ardues car je refusais de perdre quiconque sur le terrain, tout en sachant que c'était inévitable en temps de guerre. Dans le malheur de l'invasion Skrulls, cela avait eu pour point positif de resserrer les liens entre les gens pour faire face au chaos et à la peur de l'extinction. Dans ce monde coupé en deux, sous une demi-occupation alien, désormais la solidarité avait repris ses droits et bien que cela me peinait qu'il ait fallu une guerre de plus pour en arriver là, j'en étais tout de même satisfait, moi le grand attaché aux valeurs simples mais concrètes du genre.

J'arrivai au Camp jouxtant Central Park et me garai au même endroit que d'habitude. J'essayais plus que tout, de ne pas penser à elle. A Peggy. Peggy Carter. Cette femme de la résistance pour qui mon coeur de jeune recrue de l'armée avait de suite battu bien plus vite et bien plus fort que jamais auparavant. Je sentais dans ma poche, le petit poids de ma montre ancienne à l'intérieur de laquelle trônait une photo d'elle un peu écornée en noir et blanc. On faisait ça à l'époque. Tout ça pour dire, qu'elle était la première femme dont je tombais amoureux, et la dernière par la même occasion. Elle m'avait donné ma chance avant que je ne prenne le super-sérum du Docteur Erskine, changeant le mioche gringalet en celui que j'étais aujourd'hui : l'être humain à son summum physique, mais pas seulement.

J'avais toujours été quelqu'un de gentil. Je ne voyais aucune raison naturelle de faire le mal autour de moi. Cela ne me satisfaisait en rien de voir les gens souffrir, bien au contraire. Et j'avais un mal fou à comprendre ceux qui pouvaient s'en réjouir. Je n'étais pas naïf pour autant. Ayant vécu la pire des guerres mondiales, j'avais vu ce que l'humanité avait de pire à offrir. Peggy avait vu cette douceur en moi, et m'avait accepté tel que j'étais. Cette femme avait bouleversé ma vie. Je l'avais perdue bien trop tôt. Avant même que nous puissions aller danser comme nous nous l'étions promis. J'avais vu cette danse comme le déclencheur, je l'avais imaginée maintes et maintes fois. Elle restait inachevée, cette histoire d'amour. Elle avait figé mon coeur avec elle, dans la glace qui m'avait privé de cette vie qui aurait pu être normale après la guerre terminée. Cerclé de fantômes, j'étais un de ces vieux films restés au fond d'un carton pendant des années dans un grenier, et ressorti aujourd'hui à l'ère du numérique et du DVD. Autant dire qu'ils ne pouvaient pas lire un format si ancien, si anachronique. C'était ça, ma vie. J'étais cette pellicule de cinéma attendant que soit déniché quelque part un projecteur pour la lire, pour la faire remarcher.

Je l'avais perdue, et mon réveil de la glace un demi-siècle plus tard avait été plus que cruel. Tous mes amis étaient morts, hormis Bucky que j'avais retrouvé plus tard heureusement, et sauvé des mains d'HYDRA. Il était mon seul refuge dans cette époque révolue que lui seul avait partagé avec moi. Heureusement, avec le temps j'avais trouvé un nouveau but, et une nouvelle famille. Je levai la tête vers le A gigantesque qui trônait sur le Manoir Stark, de longue date devenu le Manoir Avengers. Un sourire en coin tira mes lèvres. C'était chez moi. Ce n'était pas mon époque, mais c'était bien mieux que ce que j'aurais pu espérer avoir en me réveillant, seul et perdu. Une famille de gens bizarres, pas toujours faciles à vivre, mais solidaires. Tony avait été le premier à me tendre la main et à m'offrir une place parmi les siens. Ensuite j'y avais rencontré les autres Avengers, et depuis cette équipe devenue légendaire ne cessait de repousser ses limites, de grandir, d'apprendre, de protéger tant bien que mal. J'en étais fier. Je tenais à eux. Raison pour laquelle je donnais le meilleur de moi quoi qu'il arrive.

Franchissant le hall d'entrée, je ne tardai pas et rejoignit la partie non-privée du campus, bien au-delà du Manoir, là où le camp d'entraînement et ses bâtiments et infrastructures sportives se trouvaient. Les recrues étaient déjà là. Ma voix porta pour attirer leur attention et lancer cette nouvelle journée de dur labeur pour faire de tous ces gens, des recrues fiables, des soldats, avec ou sans pouvoirs. Probablement que le paradoxe le plus tortionnaire qui m'habitait, était que j'aspirais à la paix, que je ne souhaitais que cela au monde, et cela alors que j'étais un soldat, un militaire faisant la guerre. Et je ne pouvais nier que je ne me savais pas doué pour autre chose que combattre. Ainsi ne pourrais-je jamais concilier les deux traits de ma vie en même temps. Soit l'on est en paix. Soit l'on est en guerre. En l'occurrence, nous étions de nouveau en guerre depuis deux ans, sans relâche. Et le soldat que j'étais avait évidemment répondu à l'appel. Comme toujours.

Laura Kinney

Laura Kinney


Roleplayed by : jess (elle) ou jean-micheline-j'en-rate-pas-une.
Faceclaim : charleen weiss.
Secrets Révélés : 67

   https://awaken.forumactif.com/t46-laura-kinney-not-good-w
Oh bah dis donc, je passe la porte et voilà un autre Steven G. Rogers # I don't like bullies, i don't care where they're from 3297366751

Cap' in da place ! Je sais qu'il y a eu une ou deux rencontres entre Steve et Laura dans les Comics, à voir si on pourrait pas réitérer ça, ou s'en servir si ça te dit ? Steven G. Rogers # I don't like bullies, i don't care where they're from 755654419
Même si je suis team de coeur de Tony Le Captain reste un symbole incroyable, j'ai hâte de te voir avec en jeu !

Bon courage pour la fiche Steven G. Rogers # I don't like bullies, i don't care where they're from 3537017459
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