((wanda)) † i'm sorry if my being a witch upsets him.
Roleplayed by : Nono, Inglorious (he/him)
Faceclaim : elizabeth olsen.
Secrets Révélés : 84
Wanda Django Maximoff
❝ Can you understand the delicate mindset of a woman, a person, who has control over reality? ❞
Stephen Strange
elizabeth olsen
crédit : lunpand
- fragile
- émotive
- impitoyable
- idéaliste
- instable
- aimante
- compatissante
- pacifique
- protectrice
- loyale
Capacités & Talents
Dis nous en plus...
Derrière le personnage...
wandadasurmonbidet
Roleplayed by : Nono, Inglorious (he/him)
Faceclaim : elizabeth olsen.
Secrets Révélés : 84
Histoire
❝ i don't need you to tell me who i am. ❞ wanda maximoff
Les journées et les nuits se suivent autant qu'elles se ressemblent. Ce n'est que confusion et culpabilité qui tapissent ta route dès lors que tes paupières s'ouvrent sur l'aube. Toujours cette même ritualité, ce regard qui se perd sur le mur adjacent de ton lit froid malgré la nuit écoulée, jusqu'à ce que tes billes se redressent légèrement vers le miroir orné de doré, dévoilant la silhouette fantomatique d'Agatha, mentor depuis des années. Elle s'est faite une raison, à force que tu lui rabâches de cesser te faire la morale. Elle ne daigne désormais plus t'adresser mot, mais persiste à veiller sur ton âme ensevelie sous la culpabilité. Un regard désolé qu'elle t'adresse au travers de ce miroir, tandis qu’elle ne rencontre que la froideur du tien. Tu quittes les draps de soie illusoires qui habillent ta couche, avançant machinalement vers la cuisine ancienne de ce chalet isolé, faisant couler la première tasse de café de la journée. Tes nuits sont cauchemardesques, comme en témoignent les tâches noircies sous tes yeux, tant et si bien que tu fais tout pour les écourter. Une heure, deux heures tout au plus. La désolation gangrène ton esprit, alors que ton palpitant ne parvient plus à s’aligner de manière cohérente avec la terre.
Une fois de plus tu as échoué, il y a de cela plus d’un an. Une fois de plus tu as déçu, sans même que le monde le sache. Tu as préféré prendre la fuite, craintive d’affronter une fois de plus le regard horrifié de la population. Le monde a subi une attaque globale, et tu as préféré fuir, loin de ta famille, loin de tes proches. Frère, enfants… « Père ». Des origines honteusement floues. Longtemps tu as pensé être une mutante, fille du légendaire Magnéto, mais il n’en est rien. Tu as cru être l’enfant de Django et Marya. Il n’est en est rien. L’enfant de Natalya, sœur de Django, précédente Scarlet Witch. Conduit de Chthon. Améliorée par le Haut Evolutionnaire. Âme damnée et vouée au chaos malgré tes désirs. Vouée à l’échec, qu’importe tes bonnes intentions. Tu as longtemps pensé pouvoir dessiner ton propre chemin, mais la vérité t’impose un destin d’ores-et-déjà tout tracé. La mort d’Agatha, la décimation des mutants, la mort de Vision, de tes enfants, de ton propre jumeau… Tant d’événements tragiques que tu n’as jamais souhaités, simples conséquences d’un esprit malade, de ton esprit malade. Et le dernier en date, l’extinction de ce lycée et de ces étudiants, alors que le Monde ne criait que pour ton aide. Ce cratère recueillant désormais un mémorial, celui indiquant l’œuvre des Skrulls, alors qu’il ne s’agit de personne d’autre que la Scarlet Witch. Ce sont leurs cris que tu perçois dans ton sommeil, dans ta propre malédiction. Leurs regards désespérés alors qu’ils tendent la main vers ta silhouette écarlate. Horrifiés, tu as tenté de les aider, appelant la magie du chaos qui circule dans tes veines, et qui une fois de plus s’est retournée vers toi. La magie vient avec un prix, et ce prix tu l’as payé, maintes et maintes fois.
Ta deuxième tasse de café virevoltant fébrilement dans les airs à tes côtés, bercée sur un nuage écarlate, qui peine à se maintenir. Tu cueilles les pommes du verger que tu t’es bâti, dans la folle idée de cuisiner une compote à tes enfants, rituel depuis plusieurs mois désormais. Mais tu le sais, au plus profond de toi, personne ne viendra la déguster. Elle terminera au fond d’un bol que tu observeras des heures durant. Mais tu recommenceras, la semaine d’après. Et celle d’après. Et encore, celle d’après. Tu ne parviens pas à exprimer ton mal-être, autrement que par ces actions absurdes, devenues atrocement mécaniques tant elles se répètent depuis de nombreux mois. Tu pourrais les retrouver, mais tu es bien trop incapable – et lâche – pour affronter une nouvelle fois leur regard, après un tel abandon, après de tels actes. L’histoire se répète sans cesse, mais cette fois-ci, tu te sens bien incapable de pouvoir t’en relever.
« Wanda, je… nous avons besoin de toi ». Sembles-tu percevoir derrière ton épaule. Tu ne réagis pas, cela est sûrement une nouvelle fois l’œuvre de l’esprit malin qui diffuse des paroles dans ton esprit, pour mieux torturer ta psyché. « Wanda… ». Les mots se répètent, et enfin parviennent à décrocher une réaction sur ton visage. Subtil et rapide, léger froncement de sourcils. Agatha qui rôde toujours dans les environs – invisible aux yeux de tous – semble observer autre chose que ta silhouette, pour une fois. Tu te tournes, tremblotante. Ton regard découvre cette silhouette d’un bleu foncé, nappée dans une cape écarlate, une chevelure légèrement grisonnante. Silhouette que tu reconnaîtrais qu’importe les circonstances tant tu l’as aimée, détestée, supportée, écoutée. La pomme qui siégeait dans le creux de ta main vient s’échouer sur le sol verdoyant. Tu te doutais bien qu’il connaissait ta position, fidèle à lui-même. Tu ne pensais pas qu’il viendrait à ta rencontre, surtout pour prononcer ces mots. Long fût l’échange, dans lequel le Suprême avança tous les arguments qu’il était capable de trouver pour te faire céder à sa requête, celle de te faire revenir parmi les vivants, quitter ce lieu de désolation caché – car oui, tout le décor n’était qu’une mascarade issue de ton esprit. Tu refuses, encore et encore, sachant pertinemment que tu n’irais qu’à la rencontre de tes enfants dès que l’occasion se présenterait, sans en avoir pourtant le courage. Mais Stephen t’offrit une chance, celle de la rédemption – encore – en te faisant imaginer de saines retrouvailles avec tes enfants, lorsque tu auras repris tes esprits.
Il lui fallut revenir trois mois plus tard pour que tu cèdes, après avoir repris le yoga et fait de ce lieu un véritable havre de paix, et non pas un désert déguisé en paradis. Ta motivation ? Pluriel. Thomas et William.
Une fois de plus tu as échoué, il y a de cela plus d’un an. Une fois de plus tu as déçu, sans même que le monde le sache. Tu as préféré prendre la fuite, craintive d’affronter une fois de plus le regard horrifié de la population. Le monde a subi une attaque globale, et tu as préféré fuir, loin de ta famille, loin de tes proches. Frère, enfants… « Père ». Des origines honteusement floues. Longtemps tu as pensé être une mutante, fille du légendaire Magnéto, mais il n’en est rien. Tu as cru être l’enfant de Django et Marya. Il n’est en est rien. L’enfant de Natalya, sœur de Django, précédente Scarlet Witch. Conduit de Chthon. Améliorée par le Haut Evolutionnaire. Âme damnée et vouée au chaos malgré tes désirs. Vouée à l’échec, qu’importe tes bonnes intentions. Tu as longtemps pensé pouvoir dessiner ton propre chemin, mais la vérité t’impose un destin d’ores-et-déjà tout tracé. La mort d’Agatha, la décimation des mutants, la mort de Vision, de tes enfants, de ton propre jumeau… Tant d’événements tragiques que tu n’as jamais souhaités, simples conséquences d’un esprit malade, de ton esprit malade. Et le dernier en date, l’extinction de ce lycée et de ces étudiants, alors que le Monde ne criait que pour ton aide. Ce cratère recueillant désormais un mémorial, celui indiquant l’œuvre des Skrulls, alors qu’il ne s’agit de personne d’autre que la Scarlet Witch. Ce sont leurs cris que tu perçois dans ton sommeil, dans ta propre malédiction. Leurs regards désespérés alors qu’ils tendent la main vers ta silhouette écarlate. Horrifiés, tu as tenté de les aider, appelant la magie du chaos qui circule dans tes veines, et qui une fois de plus s’est retournée vers toi. La magie vient avec un prix, et ce prix tu l’as payé, maintes et maintes fois.
Ta deuxième tasse de café virevoltant fébrilement dans les airs à tes côtés, bercée sur un nuage écarlate, qui peine à se maintenir. Tu cueilles les pommes du verger que tu t’es bâti, dans la folle idée de cuisiner une compote à tes enfants, rituel depuis plusieurs mois désormais. Mais tu le sais, au plus profond de toi, personne ne viendra la déguster. Elle terminera au fond d’un bol que tu observeras des heures durant. Mais tu recommenceras, la semaine d’après. Et celle d’après. Et encore, celle d’après. Tu ne parviens pas à exprimer ton mal-être, autrement que par ces actions absurdes, devenues atrocement mécaniques tant elles se répètent depuis de nombreux mois. Tu pourrais les retrouver, mais tu es bien trop incapable – et lâche – pour affronter une nouvelle fois leur regard, après un tel abandon, après de tels actes. L’histoire se répète sans cesse, mais cette fois-ci, tu te sens bien incapable de pouvoir t’en relever.
« Wanda, je… nous avons besoin de toi ». Sembles-tu percevoir derrière ton épaule. Tu ne réagis pas, cela est sûrement une nouvelle fois l’œuvre de l’esprit malin qui diffuse des paroles dans ton esprit, pour mieux torturer ta psyché. « Wanda… ». Les mots se répètent, et enfin parviennent à décrocher une réaction sur ton visage. Subtil et rapide, léger froncement de sourcils. Agatha qui rôde toujours dans les environs – invisible aux yeux de tous – semble observer autre chose que ta silhouette, pour une fois. Tu te tournes, tremblotante. Ton regard découvre cette silhouette d’un bleu foncé, nappée dans une cape écarlate, une chevelure légèrement grisonnante. Silhouette que tu reconnaîtrais qu’importe les circonstances tant tu l’as aimée, détestée, supportée, écoutée. La pomme qui siégeait dans le creux de ta main vient s’échouer sur le sol verdoyant. Tu te doutais bien qu’il connaissait ta position, fidèle à lui-même. Tu ne pensais pas qu’il viendrait à ta rencontre, surtout pour prononcer ces mots. Long fût l’échange, dans lequel le Suprême avança tous les arguments qu’il était capable de trouver pour te faire céder à sa requête, celle de te faire revenir parmi les vivants, quitter ce lieu de désolation caché – car oui, tout le décor n’était qu’une mascarade issue de ton esprit. Tu refuses, encore et encore, sachant pertinemment que tu n’irais qu’à la rencontre de tes enfants dès que l’occasion se présenterait, sans en avoir pourtant le courage. Mais Stephen t’offrit une chance, celle de la rédemption – encore – en te faisant imaginer de saines retrouvailles avec tes enfants, lorsque tu auras repris tes esprits.
Il lui fallut revenir trois mois plus tard pour que tu cèdes, après avoir repris le yoga et fait de ce lieu un véritable havre de paix, et non pas un désert déguisé en paradis. Ta motivation ? Pluriel. Thomas et William.
Invité
T'as été rapide à finir, mère indigne.
Oui je voulais souhaiter la bienvenue malgré tout à la mifa, sur ce je repars
Oui je voulais souhaiter la bienvenue malgré tout à la mifa, sur ce je repars
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