((monet)) You just put six holes in a Louis Vuitton shirt and you expect me to « wait » ? For what ? The « fashion police » ?
Invité
Monet Yvette Clarisse Maria Therese St. Croix
❝ Go ahead, tell me i can't. ❞
Monet St. Croix
Inbar Lavi
crédit : bambieye
- Trauma-
tisée - Orgueill-
euse - Radicale
- Fragile
- Impré-
visible
- Déter-
minée - Protec-
trice - Elégante
- Ana-
lytique - Improvi-satrice
Capacités & Talents
Dis nous en plus...
Derrière le personnage...
Sardinade !
Invité
Histoire
❝ Une belle et pas trop longue citation, enfin, comme tu veux. ❞ Auteur
Canapé.
Tic. Tac. Bruit suspendu, aiguille régulière, synchronisée sur ton palpitant. Pointes de tes mèches brunes qui caressent tes épaules, autant que le cuir du mobilier. Jambes croisées, pieds dénudés posés sur l’accoudoir, talons délaissés sur la moquette. Bras croisés sur ta poitrine. Et cette aiguille, qui poursuit sa course. Elle, qui ne regarde jamais derrière elle et pourtant, revit son passé, encore, encore… Elle te parle, cette aiguille. Elle est toi, cette aiguille. « Monet… You seem away. What do you want to talk about, today ? Is your heart willing to speak out loud ? », demande ton docteur, toujours prévenant, ne cherchant pas à exercer la moindre pression sur tes fragiles épaules. « I’m… », l’image te vient subitement, léger sursaut à cette vision. « I’m still feeling It, I’m still seeing him, coming over and over to trap me again. It’s like being in a cold cell, with no escape. I can barely sleep, I have to make up my eyes so others don’t see how tired I am. Not that I’m complaining, I love make up, I just wish it was not to hide something. », confesses-tu une énième fois. Ce récit sans fin, d’un livre manquant de son chapitre final, si ce n’est celui que tu esquisses quotidiennement dans ta psyché. « Are you still having… Dark thoughts ? ». Ce chapitre final. Le dernier son de cloche venant annoncer minuit, le vent froid qui te glace le sang, accompagnant ces pensées lugubres. « I do. », dernier aveu.
Pupitre.
Manucure française sans le moindre défaut, tailleur sans un seul faux pli, chevelure parfaitement coiffée, et rouge à lèvres pour donner de la puissance à tes paroles, assorti à tes escarpins. « Didn’t you require our help ? Isn’t that you who called Charles Xavier himself to provide assistance to battle this war of ours ? You require our help. Even more, you need our help. You’re just too scared of what we can do to admit it. The truth is, yes, I am superior to any of you, but it would kill you to recognize that, eventhough you know it is true. I am a muslim woman whose dna differs from yours thanks to what we call evolution, something you and I result from, I just had the chance to evolve more. And because of that, the world wants to call us terrorists. Bad people. Unethical people. Errors of nature. », ton regard se perd sur l’assemblée qui te fait face, armée de sénateurs au sein de ce Capitole emblématique. « You should stop thinking, I know you want to join your mistress, Senator Kelly. Senator Williams, do you have any person of color in your entourage ? No ? How could you, all you desire is to see us disappear. How would Senator Torres feel to know that you’re more racist about him than my mutant side ? Let’s ask him ! Senator Torres, I know you miss your wife, but this doll won’t make you feel whole again. Sena… ». Interruption. « Miss St. Croix, we get your point. », le Président de la Chambre des représentants met fin au spectacle. « Do you ? You want to denounce unethical, I can do it for you. And don’t you dare think I’ll forget any of this, trust me, I can’t forget. », dernière parole.
Canapé.
« Did you talk about your past to someone ? », question fâcheuse, réveillant le restant de tes peurs fermement accrochées à ta psyché. Tu tiques sur la question, sourcils froncés l’espace d’un instant, sentiment de colère qui s’élève. Ou bien serait-ce là de la tristesse ? Savant mélange des deux, pour ce cocktail douloureux. « To whom ? My sisters ? Nah. They would feel even more guilty, they had enough. People see me as the perfect being, someone even called me « Perfect Princess ». Can’t blame them, I let them see me that way, ‘cause I can’t assume the truth in front of them. I can’t tell them, and even if I wanted to share all of this shit to someone, I don’t have anyone close enough to do so. », solitude qui ronge, quête d’amour qui se solde d’un éternel échec, ta fierté comme infini rempart, sans mentionner ton égo n’ayant d’égal que ta beauté. Tu préfères vivre dans ce déni réconfortant, t’affairant à lutter pour les droits mutants, plutôt qu’œuvrer pour ta santé mentale. A quoi bon, ton plus fidèle compagnon n’étant autre que ta Pénitence. « I don’t need to handle it. I just need to live another day. », dernier désir.
Tic. Tac. Bruit suspendu, aiguille régulière, synchronisée sur ton palpitant. Pointes de tes mèches brunes qui caressent tes épaules, autant que le cuir du mobilier. Jambes croisées, pieds dénudés posés sur l’accoudoir, talons délaissés sur la moquette. Bras croisés sur ta poitrine. Et cette aiguille, qui poursuit sa course. Elle, qui ne regarde jamais derrière elle et pourtant, revit son passé, encore, encore… Elle te parle, cette aiguille. Elle est toi, cette aiguille. « Monet… You seem away. What do you want to talk about, today ? Is your heart willing to speak out loud ? », demande ton docteur, toujours prévenant, ne cherchant pas à exercer la moindre pression sur tes fragiles épaules. « I’m… », l’image te vient subitement, léger sursaut à cette vision. « I’m still feeling It, I’m still seeing him, coming over and over to trap me again. It’s like being in a cold cell, with no escape. I can barely sleep, I have to make up my eyes so others don’t see how tired I am. Not that I’m complaining, I love make up, I just wish it was not to hide something. », confesses-tu une énième fois. Ce récit sans fin, d’un livre manquant de son chapitre final, si ce n’est celui que tu esquisses quotidiennement dans ta psyché. « Are you still having… Dark thoughts ? ». Ce chapitre final. Le dernier son de cloche venant annoncer minuit, le vent froid qui te glace le sang, accompagnant ces pensées lugubres. « I do. », dernier aveu.
Pupitre.
Manucure française sans le moindre défaut, tailleur sans un seul faux pli, chevelure parfaitement coiffée, et rouge à lèvres pour donner de la puissance à tes paroles, assorti à tes escarpins. « Didn’t you require our help ? Isn’t that you who called Charles Xavier himself to provide assistance to battle this war of ours ? You require our help. Even more, you need our help. You’re just too scared of what we can do to admit it. The truth is, yes, I am superior to any of you, but it would kill you to recognize that, eventhough you know it is true. I am a muslim woman whose dna differs from yours thanks to what we call evolution, something you and I result from, I just had the chance to evolve more. And because of that, the world wants to call us terrorists. Bad people. Unethical people. Errors of nature. », ton regard se perd sur l’assemblée qui te fait face, armée de sénateurs au sein de ce Capitole emblématique. « You should stop thinking, I know you want to join your mistress, Senator Kelly. Senator Williams, do you have any person of color in your entourage ? No ? How could you, all you desire is to see us disappear. How would Senator Torres feel to know that you’re more racist about him than my mutant side ? Let’s ask him ! Senator Torres, I know you miss your wife, but this doll won’t make you feel whole again. Sena… ». Interruption. « Miss St. Croix, we get your point. », le Président de la Chambre des représentants met fin au spectacle. « Do you ? You want to denounce unethical, I can do it for you. And don’t you dare think I’ll forget any of this, trust me, I can’t forget. », dernière parole.
Canapé.
« Did you talk about your past to someone ? », question fâcheuse, réveillant le restant de tes peurs fermement accrochées à ta psyché. Tu tiques sur la question, sourcils froncés l’espace d’un instant, sentiment de colère qui s’élève. Ou bien serait-ce là de la tristesse ? Savant mélange des deux, pour ce cocktail douloureux. « To whom ? My sisters ? Nah. They would feel even more guilty, they had enough. People see me as the perfect being, someone even called me « Perfect Princess ». Can’t blame them, I let them see me that way, ‘cause I can’t assume the truth in front of them. I can’t tell them, and even if I wanted to share all of this shit to someone, I don’t have anyone close enough to do so. », solitude qui ronge, quête d’amour qui se solde d’un éternel échec, ta fierté comme infini rempart, sans mentionner ton égo n’ayant d’égal que ta beauté. Tu préfères vivre dans ce déni réconfortant, t’affairant à lutter pour les droits mutants, plutôt qu’œuvrer pour ta santé mentale. A quoi bon, ton plus fidèle compagnon n’étant autre que ta Pénitence. « I don’t need to handle it. I just need to live another day. », dernier désir.
Roleplayed by : ilayo, léa (elle/iel).
Faceclaim : hilary duff.
Secrets Révélés : 133
ça y est ça sort le qc
rebienvenue chez toi bb
rebienvenue chez toi bb
Invité
Elle est incroyable, tu fais vraiment le bon choix.
La carrure parfaite pour devenir l'égérie de la mutanité.
Tellement hâte de te voir à l'oeuvre.
Bon courage pour rédiger la suite !!
La carrure parfaite pour devenir l'égérie de la mutanité.
Tellement hâte de te voir à l'oeuvre.
Bon courage pour rédiger la suite !!
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